Oh, Tokyo Ghouls adapté ?
Je vais suivre ça de près.

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Away from KI
Si vous me cherchez, cherchez Tirodem sur Internet, vous m'trouverez bien.

La prochaine saison annonce beaucoup de 2 en ce qui me concerne ... Quasiment tout ceux listés, en fait.
Des incontournables Sword Art Online et Space Dandy, à des trucs beaucoup plus farfelus comme Fate / Kaleido Liner (parce que Ilya, pis c'est tout) et certainement Hamatora, parce que dans le genre Cliffhanger, c'était du assez lourd.

Je jetterais certainement un œil à Kantai Collection, qui est vraiment un gros truc en vogue au Japon.
Les adaptations sont souvent pas au niveau, mais bon, qui sait, ça me donnera p'tet envie de m'intéresser au "phénomène".

Après ... Akame ga kill!
Faut voir, pas certain d'être inspiré par le pitch, mais vu à quel point c'est pressenti comme un truc à voir, bah ... Je ferais p'tet le mouton.

Je vais voir pour No game No life, même si j'ai souvenir d'avoir lu une version scan de quatre ou cinq chapitres qui m'avait moyennement branché.

Sinon là je viens de passer un bon moment de détente à lire Ryushika Ryushika. C'est simple, innocent, amusant et tordu. Bref l'imagination débordante d'une petite jeune fille. J'aime bien, le dessin est agréable et en couleur, les gags et petites histoires s'enchaînent les une après les autres avec toujours des références passées. Mon seul regret dans ce manga est de ne pas connaître la tête du grand frère quand on lui annonce que le papier toilette est mort avant d'avoir pu atteindre la porte du cabiné. Pour ce gag là, l'expression "être au bout du rouleau" n'aura jamais aussi bien porté son nom, mais je crois que cela ne marche qu'en français, faudrait quand même l'expliquer à l'auteur.

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Périschtroumpf (v6c), Péridot (v6b), Niche (v6b), Rayelei (v6b), Inusyasha (v6b), Anderson (v6b), Kushana de Tolméquie (v6a et v6b), Cush Von Rich (et sans von Rich aussi, v5)

Tirodem a écrit :



Je crains un peu beaucoup d'être déçu, ceci dit.

Bon, j'ai terminé Psycho-Pass (et en plus ils vont les rééditer cet été en épisodes d'une heure).

C'est assez excellent, que ce soit au niveau de l'histoire ou de l'ambiance. On a un univers digne de Philip K. Dick, et une histoire qui pourrait être écrite par Ellory. L'histoire est assez glauque et sanglante; le monde est une dystopie qui pourrait être du cyberpunk (mais c'est légèrement trop propre sur soi pour que ça en soit vraiment).

Le rythme est bon, et on est vraiment dans du roman noir.

Bref si vous l'avez pas vu et que vous aimez ce genre de trucs, c'est à regarder sans hésitation.

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The seagull / wonder if she is sad / left alone without being touched / by the blue of the sky / or the blue of the sea.

Vous voyez ?
Un chapitre d'Hunter X Hunter comme celui-là et non comme le précédent, ça se déguste, ça se dévore, ça s'apprécie.
Vraiment, les dernières pages étaient très plaisantes.

Je sais pas si cet animé a été recommandé.. C'est Inugami-san to Nekoyama-san. Un pur délire avec des épisodes très courts du genre 3 min.

En dire plus ? 3 filles qui sont complètement à côté de la plaque, une qui se prend pour un chien. On peut remarquer que sa queue de cheval bouge de gauche à droite comme si c'était un chien qui remuait la queue.
C'est pas terrible à expliquer, mais je vous le conseille quand même.

Après une bonne journée, une petite friandise m'attendait encore : une bonne demi-douzaine de chapitre de Magician. Ah, heureux. On découvre enfin le dernier arrivant de la bande.
Le bémol c'est que ce combat commence à être un peu long... ça fait pas beaucoup avancer l'histoire.

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Périschtroumpf (v6c), Péridot (v6b), Niche (v6b), Rayelei (v6b), Inusyasha (v6b), Anderson (v6b), Kushana de Tolméquie (v6a et v6b), Cush Von Rich (et sans von Rich aussi, v5)

Aujourd'hui, je me suis relu Rainbow

Rainbow, c'est l'histoire de la rencontre de 7 jeunes garçons dans un établissement pour jeunes délinquants au japon dans les années 50.
Si le premier arc raconte surtout la lutte des jeunes garçons pour leur "survie" (morale au moins, physique pour un cas en particulier) face aux manipulations d'un gardien et du responsable médicale, l'histoire pose ensuite par une série de petits arcs entremêlés ce groupe de "loosers" (au moins aux yeux de la société) de la génération perdue japonaise (les "enfants des perdants de la 2e guerre mondiale", en gros) avec leurs drames, leurs peines, leurs joies et leurs espoirs.

Oscillant entre le drame (il y en a quelques uns), les bons sentiments et l'effort face à l'adversité de ces outsiders, l'histoire de George Abe (largement inspirée par sa propre jeunesse) est sublimée par le trait d'un dessinateur que j'apprécie de plus en plus, Masasumi Kakizaki, qui nous a également offert Green Blood (ça commence comme un "Gang of New York", ça finit comme un "Il était une fois dans l'ouest") et le dérangeant Hideout.
Plus ça va, plus je suis fan de son trait.

Et, du coup, l'histoire de George Abe est à mes yeux géniales, un seinen-tranche de vie qui fait rire, fait pleurer, fait sourire, fait mal au ventre... Une vraie réussite à mes yeux pour cette épopée humaine, sans épique ni pyrotechnique, et pourtant.

Bref, je kiffe.

Et mémo personnel pour, les prochaines fois, vous parler de "I am a hero".


Sinon, tant que j'y suis :

The Legendary Musings of Professor Munakata
Manga sur le Pr Munakata, anthropologue spécialisé dans le décryptage du folklore et des contes de fées ainsi que de leur mise en relation avec l'histoire réelle.
Le fantastique est parfois présent, parfois non.
Dans tous les cas, sans pour autant être encyclopédique, les théories du personnage de Munakata sont très intéressantes, et comme ça fait un petit moment que j'ai accroché aux études liées au conte et au folklore (Propp, Franz & co), j'ai adoré.
Du coup, en plus, retrouver le trait de Hoshino Yukinobu (Kodoku Experiment, Stardust Memories), c'est toujours un pur plaisir.


Master Keaton
Ou les histoires (en moins niais) d'un McGyver (ancien militaire spécialisé dans le survivalisme et la débrouille, ancien membre du SAS et vétéran des Malouines) désormais investigateur en assurances (il aurait été prof', ça aurait été Indiana Jones avec un couteau suisse), le tout sous le trait de Naoki Urasawa (Monster, 20th Century Boy, Billy Bat).
Un classique incontournable.

D'ailleurs d'Urasawa, je ne peux que vous conseiller d'avaler, de dévorer, de vous jeter, que dire, de fusionner avec ce qui reste à mes yeux sa meilleure oeuvre :

Pluto
Ou comment d'un arc narratif de 3 cases évoqué dans le manga "Astro le petit robot", Urasawa nous pond en 9 volumes un spin-off/référence/hommage/déclaration d'amour à l'oeuvre originale d'Osamu Tezuka, et nous joue "Astro" comme un thriller psychologique et dramatique qui renvoie Blade Runner sur les bancs de la maternelle.
Sérieusement, je n'ai jamais lu pareille merveille.
Et puis, merde, les gueules dessinées par Urasawa... Toujours le talent de dessiner les petites gens, de donner du caractère aux personnages secondaires, avec ici le tour de force de "moderniser" et "rendre sérieux" les bonnes bouilles d'Astro tout en les laissant reconnaissables.

Du génie, monsieur, oui, du génie !

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Away from KI
Si vous me cherchez, cherchez Tirodem sur Internet, vous m'trouverez bien.

Bon, j'ai regardé les Code Geass. Je sais, j'ai 10 ans de retard, et je vous prout.

Il y a des gros passages mous par moment. Genre, l’épisode avec le chat m'a donné envie de me tirer une balle, et le début de la saison 2 est super lent.
Bon, ça c'était pour les mauvais points.

L'histoire est assez excellente, et les conclusions des 2 saisons suivent un rythme super soutenu.

Bref, en conclusion j'ai trouvé ça carrément excellent.

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The seagull / wonder if she is sad / left alone without being touched / by the blue of the sky / or the blue of the sea.