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La Taverne


Forum > La Taverne > [Article] L'Amour est dans le PRÉ
Article | |
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[Jessica ou Selinda ?] 21/09 (19:57) ![]() Citoyen Empire Brun Domicile : Requiem Emprisonné | O.B.S.C.U.R. a écrit : Donnie Braquo a écrit : Connerie? ![]() Ban nan pas du tout ! Long comme ma b*te, évidemment… ![]() Après, je comprends que ça vous dépasse... --------------------------------- --------------------------------- Donnie Braquo, voleur de prestige et collectionneur de dettes impayées. [ce message a été édité par Donnie Braquo le 21/09 à 19:59] |
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29/09 (22:04) Générale La paix et le Bonheur Kraland Domicile : Quartier sur les Eaux | Chaos a écrit : Ephalia Ça alors, tu es drôlement forte en poème Amélie, ils sont vraiment très joli. J'ai pas tout compris du premier coup, mais avec l'aide d'Ayanami, qui m'a expliqué les subtilités, j'ai pu les apprécié encore plus. Et faire vivre mon imaginaire. Ayanami les apprécie beaucoup, elle trouve cela très inspirant. Je voulais te dire que j'adore aussi les Licornes depuis que je suis toute petite. Alors si tu veux on pourra partager nos rêves de Licorne. Pour ma part je voulais te montrer ce ceci. *Elle sort de son sac une peluche Licorne et la lui montre.* ![]() On a pu la retrouver dans notre ancienne villa et la remonté. Il a fallut la récupérer car gorgée d'eau mais elle est sauvée. Elle symbolise mon amour des licornes depuis que je suis petite. Alors je voulais te dire merci pour avoir raviver en moi tout ces bons souvenirs de mon enfance. Maintenant, j'ai un nouveau rêve grâce à toi ! je veux voir une vraie Licorne en vrai. Et enfin, je voulais te dire que tu fais des très bonnes émissions. Dans la première on a pu découvrir Monsieur Lee, qui est un homme un peu bourru mais gentil, honnête et franc. C'est un homme bien et c'est une bonne chose d'avoir permis au cybermonde de le connaitre un peu plus. J'espère que Dame Marika, elle aura pu apprendre à le connaitre et voir la personne qu'il est ! Et dans la deuxième et bien tu fais voyager notre imaginaire. Je ne suis pas la plus futé des Najimus, je dirais autant que ma mère, mais je n'ai eu aucune difficulté Ca donne envie d'en savoir plus. Donc Simplement : Merci Amélie. Et en plus tu fais les meilleurs Kebab du cybermonde ! Le seul point noir de cette émission, c 'est les gens qui viennent dire n'importe quoi et ne font en rien avancer la chose. Et pire ceux qui n'écoute pas et parle. Mais moi et Aya, on t'encourage ! Encore encore ! Spoiler > Bon, puisque tout ça a l'air de vous laisser de marbre, je vais reprendre et continuer. > > L'élément que je souhaitais évoquer un petit peu plus tôt, c'est mon propre émerveillement, > mes rencontres, mes moments précieux. > Je vous ai volontairement teasé ce point avec la photo à mon arrivée. Mais vous l'aurez compris, > l'histoire que je vais vous comptez nous amène au cœur de la foret. > > Dans les profondeurs d'une forêt ancienne d'Hélénie, là où les arbres sont si vieux > qu’ils semblent se souvenir du monde avant les hommes, un voile de brume s'était levé sans > prévenir. Une brume épaisse, mais paisible, s’élevant comme un soupir de la terre. Elle glissait > entre les troncs, épousait les branches, et habillait chaque pierre d’une tendresse cotonneuse. > > L’air était saturé de silence. Un silence si plein qu’il en devenait chant. > Les feuilles bruissaient à peine, les mousses s’illuminaient de gouttes de rosée suspendues > dans le non-temps. La lumière vacillante d’une lanterne ne perçait plus grand-chose, mais qu’importe. > Ici, dans ce sanctuaire brumeux, la lumière ne venait plus des flammes de ma lanterne. > > La lumière venait d’elle. > La licorne. > > Elle n’arrivait pas : elle apparaissait. > Sans bruit, sans trace. > Son pelage était blanc, mais non pas le blanc des neiges. C’était une blancheur de lune, vivante, > mouvante, comme si chaque poil avait été tissé de lumière. Sa crinière ondulait sans vent, > fluide comme une rivière d’argent. > Sa corne, longue et torsadée, semblait faite de cristal et de souvenir. > Elle irradiait doucement, d’une lueur irréelle, ni chaude ni froide, simplement présente. > Et ses yeux... de grands yeux sombres, profonds comme les nuits sans fin, mais traversés de > reflets, comme si l’univers entier s’y était un instant logé. > Elle ne marchait pas, elle glissait. > Ses sabots touchaient le sol sans le froisser. Les feuilles mortes restaient en place sous > elle, comme si la forêt elle-même retenait son souffle à son passage. > La brume ne l’enveloppait pas : elle émanait d’elle. > > Un instant suspendu, puis une respiration commune. > > La créature tourna lentement la tête. Pas un mot, pas un ordre, mais une invitation. > Alors, elles marchèrent ensemble, elle et la silhouette humaine. > La forêt s'ouvrait devant elles avec une douceur nouvelle, comme si chaque arbre s’écartait > avec respect, leur traçant un chemin. > Bientôt, le bruissement discret d’une rivière vint à leur rencontre. > Pas un torrent, non — une eau calme, claire, qui serpentait entre les pierres et les racines, > miroitant la lueur de la lune. > La brume était moins dense au niveau de l'eau. Les étoiles s’y reflétaient, et parfois, on > croyait y voir passer des formes indécises, des silhouettes d’oiseaux endormis ou de poissons > de lumière. > > La licorne s’y pencha pour boire, et même l’eau sembla s’immobiliser, comme si elle aussi voulait > prolonger ce contact. > Elles longèrent la rive, lentement. La mousse était épaisse, douce sous les pas. Parfois, une > luciole croisait leur chemin et venait se poser dans la crinière argentée de la créature, comme > une note de musique sur une portée blanche. > La lune, haute dans le ciel, veillait. > Il n’y avait ni peur, ni hâte. > Juste la magie pure d’un moment qui ne cherchait rien à prouver. > > Lorsque les premières lueurs de l’aube commencèrent à dissiper la brume, la forêt reprit son > souffle. > Les oiseaux, timides, osèrent un chant. > La lumière se glissa entre les branches, dorée, tiède, presque timide face à la lueur qui avait > précédé. > > Arrivées à la lisière, là où les arbres cèdent la place aux prairies, la licorne s’arrêta. > Un dernier regard. > Pas un adieu. > Un simple silence, chargé d'une promesse solennelle. > > Puis, comme elle était venue, elle disparut. > Pas en s’éloignant, en s’effaçant, doucement, comme une vapeur de rêve. > > Et la forêt, à nouveau seule, conservait dans l’air un parfum difficile à nommer. > Un mélange de mousse, de lumière, de mystère… et de vérité. > > Beaucoup trouveront dans le récit que j'ai exprimé, que finalement, il ne se passe rien, pas > de guerre, pas de bataille, mais je vous avoue qu'il est bien difficile d'expliquer l’émerveillement, > et la révélation qui fut mienne ce jour là. Des choses qui étaient compliquée à mes yeux sont > alors devenu beaucoup plus claire : J'avance en ces terres sur le sentier qui m'est donné, > et c'est fidèle à la ma nature propre que j'accomplirais ce que je dois accomplir. Ni plus, > ni moins. > Rien ne sert de jalouser, rien ne sert les rêves de grandeur et les illusions de pouvoir. > Chacun renferme en son sein, tout ce qu'il lui faut pour vivre heureux en ce monde. > > La suite de cette aventure cette fois ci, ne m'est pas arrivée à moi même, mais à mon alter-égo > que je nomme souvent sœur. > > La nuit était tombée sur les terres au nord de Monte-Oktavio, étendant son manteau > d’encre sur les cimes et les ruisseaux, lorsque le cri fusa à travers les bois. > Un hennissement. > Mais pas un chant de liberté, un appel déchiré. > Plein de douleur. > Plein d’effroi. > > Aurora, silhouette élancée aux cheveux de feu, s’arrêta net. Sa main, déjà sur la garde de > sa dague, frémit. Ce n’était pas un cri ordinaire. > C’était un cri ancien, un son que la forêt elle-même semblait porter dans sa mémoire. > Et en elle, quelque chose sut. Ce n’était pas un cheval. Ce n’était pas un animal ordinaire. > C’était elle. La licorne. > > Aurora suivit l’appel, son pas rapide mais mesuré, glissant entre les troncs avec la souplesse > d’une louve. Sa cape effleurait les fougères, et les branches s’écartaient sur son passage, > comme guidées par une force invisible. Son cœur battait plus fort à chaque pas, résonnant à > l’unisson avec la souffrance qu’elle percevait. > Et puis, dans une clairière presque irréelle, baignée d’un pâle halo lunaire filtrant à travers > la canopée, elle la vit. > La licorne était couchée sur le flanc, ses flancs tremblants, ses yeux dilatés de douleur. > Son pelage, d’ordinaire blanc comme l’écume des nuages, était maculé de terre et de sang. Un > carreau d’arbalète, brutal, barbare, était fiché profondément dans sa croupe. La blessure l’empêchait > de se redresser, chaque mouvement l’arrachant à sa dignité silencieuse. > > Aurora s’approcha lentement, les paumes ouvertes. > La licorne la regarda. Elle ne s’enfuit pas. Elle attendait. > Alors, sans précipitation, Aurora s’agenouilla près d’elle, et posa une main sur sa crinière. > Une chaleur passa entre elles. Une compréhension muette. Une douleur partagée. > Doucement, elle saisit le projectile. La corne de la licorne pulsa d’une lumière blafarde, > comme pour accompagner le geste. Et d’un mouvement net mais soigné, la jeune femme retira le > carreau. Un flot de sang jaillit, sombre et inquiétant. > Mais Aurora savait ce qu’elle devait faire. > > Sans hésitation, elle prit sa dague. Sa lame était fine, délicatement ouvragée — une œuvre > d’art autant qu’un outil de guerre. Elle l’ouvrit lentement, avec une précision presque rituelle, > et traça une ligne droite dans la paume de sa main. > Son sang, couleur ambre profond, s’écoula. > Elle le versa sur la plaie de la licorne, sans trembler. > > Et là… un miracle. > Le sang sembla danser sur la blessure, fusionner avec les chairs. Il y eut une lueur — douce, > rosée — puis les tissus se refermèrent, lentement, comme une fleur qui se referme au crépuscule. > Quelques secondes suffirent. > Et la plaie disparut. > Pas même une cicatrice. > > La licorne se releva sans bruit, redressant la tête avec grâce. Elle tourna les yeux vers Aurora, > puis, d’un geste aussi fluide qu’un souffle de vent, inclina l’encolure vers elle. > Une invitation. Aurora comprit. > C’était la première fois que la créature lui offrait ce privilège. Elle monta à cru, sans selle > ni rênes. Il n’y avait pas besoin d’objets entre elles. > Et aussitôt, la licorne s’ébranla. > > Ce n’était pas une course. > Ce n’était pas une fuite. > C’était une danse. > Leurs mouvements étaient si harmonieux qu’on aurait cru qu’Aurora avait toujours vécu là, entre > les muscles de cette créature, dans le balancement parfait de son corps. > > À chaque pas, la forêt se transformait. > Les fougères s’écartaient, des lueurs pâles suintaient des troncs, et la lune elle-même semblait > suivre leur avancée. > Leur souffle était un seul souffle. > Leur volonté, une seule étoile. > > La licorne la mena loin, au-delà des chemins connus, jusqu’à une vallée cachée que peu d’êtres > humains avaient jamais foulée. Là, au cœur d’un écrin végétal, un bassin naturel reposait, > silencieux et sacré. L’eau y était si claire qu’on pouvait voir le ciel reflété jusqu’au fond. > Des nénuphars y dansaient, et au centre, une pierre plate émergeait comme un autel oublié. > Et au bord du bassin… elle > > Une silhouette haute, drapée d’un tissu liquide, translucide comme l’eau en plein midi. Ses > cheveux coulaient sur ses épaules comme un fleuve d’opale, et ses yeux contenaient l’éclat > de l’aube éternelle. Elle ne dit rien. Elle savait. > > Aurora descendit de la licorne. > Elle s’avança vers la Dame, chaque pas résonnant sur la terre comme un battement de cœur. La > Dame leva une main fine, aux doigts ornés de gouttelettes cristallines. > Et là, sous la lune et les étoiles, au bord de ce miroir silencieux, Aurora reçut sa vision. > Un avenir. > Un rôle. > Une bénédiction. > Elle deviendrait grande prêtresse. Gardienne de l’équilibre et du culte balbutiant. Servante > de la lumière et de la nature. Elle vivrait au service du mystère et de l’harmonie, entre les > mondes visibles et invisibles. > > Et la licorne, désormais liée à elle, serait sa compagne sacrée. > > Ce moment, c'est un moment que j'ai pu connaitre aussi par la suite, car, avec l'aide d'Océane > Najimus qui m'a aidée dans mes recherches. > J'ai pu avoir moi aussi, un doux moment avec la licorne. Comme toute princesse qui se respecte, > passer des heures à caresser la crinière d'une licorne c'est un mélange entre un rêve et un > accomplissement. J'ai enfilé ma plus belle robe, tout en voilage, pour être à la fois confortable > pour monter, et ne pas risque de la blesser. > > Un moment unique et magique, dont je tairais pour l'instant les détails, tant ils provoquent > en moi des sensations fortes, et je voudrais pas me mettre à pleurer dans une émission filmées > comme ça. > > Ah oui, et pour conclure, si je devais résumer ça pour les Régentes qui diplomatisent un peu > trop avec nos alliés nordiques... Avant de l'entendre de nouveau demander : "Et en trois > mots ça donne quoi?". Voici le résumé : Je Cœur Licorne !!! ___ ![]() |
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Forum > La Taverne > [Article] L'Amour est dans le PRÉ
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