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- Il me semble que les Confédérés sont de piètres guerriers...
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La Taverne
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Forum > La Taverne > Les aventures de l'Horloge des Abysses !
21/09 (16:38) Ministre du Travail Royaume de Ruthvénie Domicile : Les Îles Sandwich | Ahoy, mes vaillants amis ! Accrochez-vous bien, parce que ce récit est plus tumultueux qu’une mer déchaînée en pleine tempête ! Vous vouliez savoir ce qui s'est passé pour moi après cet effroyable donjon ? Non ? Tant pis. Tout commence quand Gabriela, avec son rire plein de malice, m’a offert L'Horloge des Abysses, un trois-mâts aussi majestueux que le vent dans ses voiles. Mais ce n’est pas tout, non… elle m’a aussi offert une carte au trésor, une véritable carte pleine de promesses, avec de l’or et des aventures à la clé. De quoi faire saliver n’importe quel pirate digne de ce nom ! Ah oui, faire saliver n'importe quel Corsaire, aussi. Coucou le Royaume. Dès que j’ai posé les yeux sur cette carte, j’ai senti mon cœur battre au rythme des vagues. Gabriela m’avait bien conseillé de recruter un équipage, mais moi, Mary Read, j’ai décidé de partir seule, poussée par l’impatience et l’adrénaline. Qui a le temps d’attendre quand un trésor vous appelle ? Alors, j’ai hissé les voiles et pris le large, seule à la barre d’un navire que même les plus chevronnés hésiteraient à manœuvrer sans aide. L'ai-je regretté ? Un peu. Ma première escale fut Little Accalmie, un endroit qui, comme son nom l’indique, était aussi calme qu’une mer sans vent. Après une bataille acharnée pour amarrer L'Horloge des Abysses contre le vent qui soufflait comme un géant en colère, j’ai enfin descendu la passerelle, prête à me rassasier. Mais là, quelle déception ! La ville était aussi vide que le ventre d’un vieux loup de mer. Les auberges ? Désertes ou presque, et la nourriture... une infâme bouillie aussi fade que de l’eau croupie. J’étais frustrée, et pas seulement parce que j’avais lutté pour poser le pied à terre. C’était comme si la ville elle-même me rejetait, que le vent et les vagues voulaient m’éloigner de mon but. Alors, sans perdre plus de temps, j’ai décidé de reprendre la mer. Et c’est là que les choses ont vraiment commencé à se compliquer. Naviguer seule sur un trois-mâts, c’est comme essayer de dompter un dragon des profondeurs ! Chaque vague frappait la coque comme un poing d’acier, chaque rafale de vent me tirait dans tous les sens. J’avais l’impression que la mer elle-même me défiait, qu’elle cherchait à m’avaler tout entière. Mais je suis Mary Read, et je n’ai pas lâché la barre. J’ai tiré sur les cordages, réglé les voiles, bataillé contre le vent avec une détermination féroce. Puis, comme si ce n’était pas suffisant, des chiens… oui, des chiens surgis de nulle part… m’ont attaquée en pleine mer ! Leurs crocs luisaient dans l’obscurité, et leurs grognements résonnaient comme les grondements de la mer elle-même. Ils ont bondi sur le pont, et avant même que je puisse réagir, j’étais déjà à terre, sombrant dans un profond coma après leur attaque. Quand je me suis réveillée, c’était comme si le monde tout entier tanguait encore autour de moi. Mais le trésor m’appelait toujours, et je n’allais pas laisser quelques chiens me barrer la route. J’ai rassemblé mes forces, pris la barre avec détermination, et repris ma route, déterminée à atteindre l’endroit indiqué sur la carte. Finalement, j’ai atteint la destination. Le lieu était aussi étrange qu’inquiétant, comme si l’air lui-même retenait son souffle. Les vagues étaient calmes, trop calmes, et le silence pesait lourdement sur les eaux. Sur la rive, j’ai trouvé les restes d’un autre marin, un pauvre bougre qui avait tenté sa chance avant moi. Ses os blanchis par le temps et son équipement de survie racontaient l’histoire d’un homme qui n’avait pas eu la même chance que moi. Mais ce qui m’intéressait vraiment, c’était la bourse de 500 pièces d’or qui traînait à ses côtés. L’or, enfin ! Après tant d’épreuves, je tenais enfin mon trésor. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Après avoir récupéré le trésor, j’ai décidé de mettre le cap sur Nouvelle Volupté. Malheureusement, au lieu d’une traversée tranquille, je me suis retrouvée perdue dans un véritable labyrinthe de rivières. Chaque virage me tirait plus loin de mon objectif, les courants étaient traîtres, et les rives semblaient se refermer sur moi à chaque instant. C’était comme si la mer elle-même s’amusait à me perdre. J’ai lutté, bataillé contre les courants, et malgré tous les obstacles, j’ai fini par retrouver le large. Mais ce fut une lutte digne d’un véritable cauchemar. À mon arrivée en ville, épuisée mais victorieuse, une nouvelle encore plus incroyable m’attendait : j’avais été nommée ministre du royaume. Moi, Mary Read, ministre ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Je n’ai toujours pas compris comment ni pourquoi cette idée avait pu germer dans l’esprit de quelqu’un. Moi, ministre ? Je me suis toujours méfiée des bureaucrates, et voilà qu’ils veulent faire de moi l’un des leurs ? C’était à se demander si le Cybermonde n’avait pas perdu la tête. Si seulement ils m’avaient fait ministre du Travail, j’aurais pu utiliser ces pouvoirs pour financer ma recherche de matelots. Et pour couronner le tout, à peine avais-je eu le temps de digérer cette nouvelle que j’ai reçu un message vocal de Gabriela. Toujours prête à embarquer dans une nouvelle aventure, elle m’invitait déjà à repartir en mer pour une autre quête. Comme si le destin avait décidé que je n’aurais jamais un moment de répit ! J'ADORE CELA ! Il faudrait que je fasse graver le prénom de Dame Gabriella sur la coque tout de même. En petit. En dessous. Pour la remercier, par mille sabords. Les vagues continuent de m’appeler, et tant que le vent soufflera dans mes voiles, je répondrai toujours à l’appel de l’aventure ! ___ |
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[Que Nenni!] 29/11 (00:25) Directrice du Grand Observatoire Seele Domicile : Monte-Oktavio | Que Nenni! Capitaine Read! Vous êtes réveillée ? À quand la suite de vos aventures! J'ai entendu dire que vous aviez trouvé des Trésors ? Encore sa narcolepsie, elle s'est endormie où, cette fois? ... ___ Gabriela, jeune femme qui |
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29/11 (00:49) : 157 Ministre de l'Information Palladium Domicile : Secteur Restreint | N'empêche, elle est vachement prévoyante... C'est la première fois que je vois un bateau avec une barre de secours. On ne sait jamais... si la première barre crève... ___ De l'or, de l'or, de l'or et encore de l'or... [ce message a été édité par Gold le 29/11 à 04:27] |
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29/11 (20:23) : 3422 Seele Domicile : Diocèse Tutélaire | Nous avions tellement les yeux tournés les étoiles, vers notre station orbital Cybermondial, nommée Belledandy (cf. Projet Salvation) que nous en avions presque oubliés les chroniques des mers. Hydres, Sirènes, Kraken, Poisson Bouffe-Tout. La liste de ces êtres mythologiques est longue. Des rumeurs avaient même suggéré que le roi des pirates Barbe-Mauve s'était retranché vers la cote ouest de Tokyo-3, après sa défaite contre le corsaire chauve, la cause étant une femme. Et vous êtes une femme d'exception. Je vous tire mon tricorne, capitaine ministre Read. ___ 若い外国人の皆さんにお会いできてうれしいです [ce message a été édité par Neskaa Van Meegeren le 29/11 à 20:25] |
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09/12 (11:13) Ministre du Travail Royaume de Ruthvénie Domicile : Les Îles Sandwich | Ahoy, mes braves ! Asseyez-vous confortablement, car ce que je vais vous raconter est si incroyable que vous vous demanderez si je n’ai pas fumé autre chose que mes chers cigares des Caraïbes. Mais chaque mot est vrai… enfin, certainement. Après avoir affronté des créatures indescriptibles et récolté des trésors dans cet immense donjon dont j'ai oublié le nom, j’étais prête à retrouver L’Horloge des Abysses. Mais lorsque je suis arrivée au port… plus de navire ! Disparu comme un tonneau de rhum lors d’une fête de marins ! Évidemment, je n’allais pas laisser ça passer ! Alors que je m’échinais à chercher des indices, un éclat étrange autour de mon cou a attiré mon attention. Un pendentif, gravé de divers motifs et vibrant doucement, comme s’il résonnait avec l’océan lui-même ! LE PIRE ! C'est que je n'avais jamais vu ce pendentif avant ce jour ! Et guidée par cette curiosité, je me suis embarquée dans une chaloupe et laissée porter par le courant. C’est alors que je les ai vus. Ils étaient là, un groupe de dauphins, mais pas ceux que vous imaginez en train de sauter gracieusement à travers les vagues. Non, ces créatures étaient un mélange cauchemardesque d’intelligence, de cruauté et d’un sens troublant de l’organisation. Leurs regards, sombres et perçants, semblaient sonder mon âme, et leurs dents – aiguisées comme celles d’un requin – brillaient dangereusement sous le soleil. Ces dauphins n’étaient pas seuls. Ils avaient transformé mon navire en une forteresse aquatique flottante. Des algues et des coquillages étaient accrochés à la coque, et un étrange drapeau, fait de filets marins et de débris, flottait fièrement au sommet du mât. Ils avaient érigé des barricades improvisées sur le pont, utilisant des caisses et des morceaux de bois flottant comme protections. Vous imaginez un peu le boulot pour tout nettoyer ensuite ? Et, pire encore, ils semblaient communiquer entre eux, poussant des sifflements coordonnés qui donnaient l’impression qu’ils complotaient activement. "Vous vous croyez malins, hein ?!" avais-je crié en direction de ces monstres marins. Leur réponse fut immédiate : un dauphin plus gros, probablement leur chef, s’élança hors de l’eau et retomba en une gerbe d’écume, un avertissement clair. Je me suis alors lancée dans une bataille épique. Ces satanées créatures se jetaient sur moi, essayant de me noyer sous des éclaboussures. Mais moi, Mary Read, je ne me laisse pas faire ! J’ai balancé tout ce que j’avais : ma rame, une caisse vide, et même mes bottes. Finalement, grâce au pendentif qui brillait comme un soleil, j’ai réussi à perturber leurs mouvements et à reprendre L’Horloge des Abysses. Une victoire éclatante, vous dites ? Attendez la suite. J'ai donc récupéré mon navire ! Manquait plus que ça. Et alors que je hissais les voiles, victorieuse, tout en râlant sur les heures que le nettoyage allait me prend, tout est devenu flou. J’ai ouvert les yeux… et j’étais là, dans ma cabine. Pas de dauphins, plus de vase dégoulinante partout. Juste moi, fatiguée, et L’Horloge des Abysses sagement amarré là où je l’avais laissé. Un rêve. Tout ça ne devait être qu’un fichu rêve vous allez me dire ? Mais je vous jure, mes bottes étaient encore humides, et ce pendentif… eh bien, il était toujours autour de mon cou. J'ai fait sécher mes bottes et je suis partie en mer pour calmer mes nerfs. Mauvaise idée. D’abord, j’ai croisé des moutons d’eau. Ah, les fameux moutons d’eau. Ces créatures-là, je vous le dis, sont la preuve que la mer cache bien plus de mystères que ce que nos cartes peuvent révéler ! Imaginez un instant des moutons, oui, de vrais moutons, mais flottants. Leur laine, épaisse et gorgée d’eau salée, forme une sorte de bouée naturelle. Ils dérivent doucement sur les vagues, comme des nuages échappés du ciel et tombés dans l’océan. Mais ne vous laissez pas berner par leur apparente innocence. Ces moutons-là ne sont pas de simples herbivores paresseux. Leurs bêlements, étranges et gutturaux, résonnent comme des avertissements, une mélodie sinistre qui semble dire : "On arrive, prépare-toi." Leur laine détrempée est un piège. Quand ils s’approchent de votre navire, ils commencent à s’agglutiner en troupeau compact, formant un véritable barrage flottant. Et puis, ils attaquent. Avec leurs mâchoires robustes, ils grignotent les cordages, rongent les bords de la coque et tentent même de grimper à bord. Oui, grimper ! Ces satanées créatures sont dotées de pattes étonnamment agiles pour des moutons. Leur objectif semble être de faire couler tout ce qui flotte, ou peut-être simplement de transformer votre navire en leur nouvelle maison flottante. Qui sait ce que ces bêtes-là pensent ? Elles ont un regard vide, mais leur persévérance est redoutable. J’ai dû les repousser avec une poêle – oui, une poêle car j'allais me cuisiner des œufs de perroquets ! – pour sauver L’Horloge des Abysses. Chaque coup sur leur laine détrempée faisait jaillir des gouttes d’eau salée, mais elles revenaient toujours à la charge, leurs bêlements de plus en plus stridents. Et leur odeur… une odeur de laine moisie et d’algues pourries qui s’incruste dans vos vêtements. Je vous jure, c’était une bataille aussi étrange qu’éreintante. Finalement, après un dernier assaut héroïque de ma part – et quelques injures que je préfère ne pas répéter pour ne pas choquer les petits enfants –, les moutons ont abandonné la partie, dérivant à contrecœur vers l’horizon. Mais je vous le dis, mes amis, si vous croisez un troupeau de ces monstres flottants, changez de cap immédiatement. Ces moutons d’eau ne sont ni mignons ni inoffensifs. Ce sont de véritables terreurs des flots. Et comme si ça ne suffisait pas, une bande de brigands en barques m’a interceptée. Pas pour me voler de l’or ou des trésors. Non, ces amateurs m’ont pris… ma boîte de cigares des Caraïbes ! Vous imaginez ma rage ? Ils s’enfuyaient en riant, et moi, je leur hurlais que leurs barbes ressemblaient à des algues pourries ! Nul doute que cela les a anéanti. Me voilà donc, accostant au Valegro, épuisée, les voiles pendantes, les cordages en vrac, et pas la force de ranger quoi que ce soit. Je suis restée assise sur le pont, fixant le ciel, avec juste assez d’énergie pour ouvrir une bouteille de rhum. ___ |
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